Une semaine magique de safari en Tanzanie !

Dernière mise à jour : 24 novembre 2023

10 ans! Voilà ce qu’il m’a fallu pour oser ressortir ce carnet de voyages enfoui au fin fond d’une boîte sous mon lit. Ce safari en Tanzanie, suivi d’une semaine détente à Zanzibar, a marqué un tournant dans ma vie. C’est en rentrant de ce voyage en Tanzanie, que les yeux rivés sur un planisphère, je me suis surprise à rêver d’un grand voyage, où il n’y aurait plus de frontières, ni de limite de temps. L’idée de faire un tour du monde a germé au retour de ce voyage marquant. 

Aujourd’hui, je suis heureuse de prendre enfin la plume pour vous raconter mon safari en Tanzanie, dans les plus baux parcs nationaux du pays suivi de la découverte de la fabuleuse île de Zanzibar!

Une semaine de safari en Tanzanie : du Tarangire au cratère de Ngorongoro en passant par le Serengeti

C’est à Nairobi au Kenya que j’ai entamé ce voyage. Les billets étant bien moins chers que pour la Tanzanie, c’est avec la navette qui part de l’aéroport de Nairobi,  que je suis arrivée à Arusha, point de départ de ce séjour en Tanzanie. Notre guide, choisi pour la semaine, Moses, est censé nous retrouver le lendemain matin à notre hôtel, afin d’entamer le safari. Nous profitons de ce passage à Arusha pour retirer l’argent nécessaire pour payer les parcs et Moses, et faire quelques courses avant de prendre la route le lendemain matin.

C’est parti! Je vous emmène avec moi découvrir l’incroyable faune sauvage  et les paysages spectaculaires rencontrés lors de ce safari en Tanzanie.

Safari en Tanzanie – Jour 1 : à la découverte du parc national de Tarangire

L’aventure commence un bon matin, accompagnés de Moses, notre guide donc, et Mohammed qui fera la cuisine pour nous. Nous partons dans notre jeep, direction le  parc national Tarangire, situé à 120 km d’Arusha. Celui-ci est réputé pour sa végétation luxuriante et  sa faune, notamment pour les troupeaux d’éléphants. Nous ne serons pas déçus!

Le premier animal sur lequel nous tombons est un guépard, caché sous un arbre, au milieu de hautes herbes… Ça commence bien!  On poursuit dans le parc, non loin de la rivière Tarangire au bord de laquelle se rassemblent les animaux pour boire. Nous tombons nez à nez avec des phacochères un peu partout, puis les fameux éléphants… Puis on aperçoit des dizaines de zèbres. Il y en a partout, pas farouches pour un sou. Puis arrivent des gnous et des impalas en nombre. Pour ce premier jour, nous sommes vraiment gâtés et avons les yeux qui brillent! On est bien loin de notre tout premier safari en Afrique du Sud, où on avait galéré à les repérer. 

A la pause déjeuner, on doit se méfier des babouins qui guettent notre nourriture et sont prêts à bondir  pour nous voler notre repas. La journée s’écoule et nous nous émerveillons toujours plus. Les premières girafes de la journée apparaissent, si majestueuses. On voit des gnous à perte de vue, des éléphants encore une fois, à la lumière du soleil couchant. Des aigles survolent le parc à l’affût de leurs proies. Des oiseaux volent de partout. Le spectacle au coucher du soleil est juste magique…

On se met à chanter Hakuna Matata, tellement nous avons l’impression d’être dans le Roi Lion. Des étoiles plein les yeux, et les poumons plein de poussière, nous repartons direction le Lac Manyara où nous passons notre 1ère nuit de ce safari en Tanzanie. Mohammed nous attend dans le village de Mto Wa Mbu (rivière de moustiques), où il a préparé notre tente pour la nuit et le dîner! On se sent comme des rois!

Safari en Tanzanie – Jour 2 : Le lac Manyara

Après un bon petit déjeuner préparé par Mohammed, composé d’oeufs, de saucisses, de pain grillé et de crêpes, nous prenons la route pour le lac, à 10 minutes de là. Le ciel s’est assombri, le temps s’est rafraîchi. Nous découvrons une énorme forêt très verte au fond de la Vallée du Rift, où nous rencontrons nombre de singes, d’antilopes et surtout d’oiseaux! 

Nous nous dirigeons vers le lac où nous découvrons une myriade de flamants roses, ainsi que des gnous, des zèbres, des hérons, des aigles pêcheurs, des ombrettes… C’est juste splendide! Le cadre est totalement différent de la veille et paraît si calme, apaisant.  C’est au bord de ce lac que nous déjeunons, à observer la vie sauvage.

Au loin, nous repérons des hippopotames… Seules la tête et les oreilles dépassent. De temps en temps, ils lancent des jets d’eau et des oiseaux se posent sur leur tête. Nous sommes fascinés. Et vraiment heureux de prendre le temps! Nous voyons encore des girafes au loin, puis de nouveau des éléphants que nous observons d’assez près. Quelques babouins et antilopes plus tard, nous sommes de retour au camp, où nous profitons de la douceur de la fin d’après-midi avant le dîner.

Safari en Tanzanie – Jour 3 : à la rencontre des tribus de Mto Wa Mbu

Le village de Mto Wa Mbu

Ce jour-là, c’est Freddie, responsable d’un programme de développement culturel mis en place à Mto Wa Mbu par l’office du tourisme tanzanien et une association néerlandaise, qui nous fait découvrir le village de Mto Wa Mbu. L’argent récolté est reversé aux tribus (environ 120 tribus dans le village), qui laissent visiter leur logement, leurs plantations ou leurs ateliers. 

Nous commençons par les champs et rizières exploitées par les familles. Elles assurent ainsi leur auto subsistance et exportent le surplus vers les villes de Tanzanie et les pays voisins. La terre est très fertile dans la Vallée du Rift, du fait de l’eau en abondance. Cela permet de cultiver une grande diversité de fruits et légumes. J’ai tout de même mal au cœur en voyant ces femmes, dos courbé, travaillant dans les rizières, tant ce travail semble difficile et exigeant. 

Plus loin, nous rendons visite à la tribu des Macondé, qui sculptent des figurines de toutes sortes dans du bois. Originaires du Mozambique, ils parlent portugais! La sculpture classique est une femme, longiline, portant un sac sur la tête, rappelant ainsi la longue marche effectuée par les tribus lors du conflit de 1975. J’essaie moi-même de sculpter, mais ça demande beaucoup de précision et je galère! Nous repartons avec deux statuettes et des peintures. 

Nous visitons également une maison typique: une minuscule pièce fraîche, faite de pierre pour les fondations et de boue séchée pour les murs. Le toit est en écorce de banane, avec des feuilles de bananier au-dessus. A l’intérieur, du matériel sommaire : une moto et une chaise! 

Les habitants du village semblent heureux de nous voir. On nous lance des “Jambo” à tout va. Les enfants crient “hello” et nous réclament des pi-pi (des bonbons!) Certains se précipitent sur mon appareil photo pour que je les prenne et leur montre le résultat.

Nous poursuivons par une dégustation d’une bière de banane, au bar local, à savoir une planche en bois et un banc taillé dans un tronc d’arbre! On nous sert une énorme chope pour goûter le breuvage, normalement bu lors des fêtes traditionnelles. 

Nous finissons par les plantations de bananiers, où nous apprenons à reconnaître les différents types, puis une association de peintres, qui vendent de superbes toiles : des massaï sur fond de Kilimandjaro, ou des animaux. Et enfin le marché du village, où nous trouvons toutes sortes de fruits et légumes.

Rencontre avec les Massaïs

Plus tard dans l’après-midi, nous partons en jeep en direction du village massaï qui nous accueille ce jour-là. Afin que les fonds reversés bénéficient à tous, ce n’est pas toujours la même tribu qui reçoit les étrangers. Le village est paumé au milieu de nulle part. Il est constitué de quelques huttes construites en bouse de vache éparpillées et est délimité par des branches d’épineux tout autour. Au centre, un enclos circulaire pour les vaches et chèvres a été formé. Nous attendons les massaïs dehors, qui sortent en chantant et dansant. 

Nous sommes invités ensuite à les suivre à l’intérieur. Le chef du village, qui a 5 femmes, vient nous saluer avant que les autres reprennent leurs danses, les femmes d’un côté, les hommes de l’autre. Je suis ensuite invitée à rejoindre le groupe de femmes qui me mettent un énorme collier autour du cou, et m’incitent à sauter comme elle et à chanter. Suit la danse du mariage, où les hommes et les femmes se retrouvent face à face puis les femmes choisissent leur mari en leur tapant sur l’épaule. Nous rigolons autant que nous sommes mal à l’aise de nous retrouver dans cette situation. 

Nous entrons ensuite dans une hutte, dans laquelle ils nous expliquent leurs traditions : à chaque âge son rôle! Les enfants et adolescents s’occupent du bétail. Les plus âgés doivent se faire circoncire et s’isolent ensuite 2 ans pour apprendre la culture massaï jusqu’à ce qu’ils deviennent de véritables guerriers et soient capables de tuer un lion. A partir de ce moment, ils sont adultes et sont chargés de la razzia : ils volent les vaches de leurs voisins et défendent leur territoire contre les animaux sauvages. A 30 ans, ils sont considérés comme vieux! Incroyable!

Au sortir de ces explications, nous passons par un stand de bijoux fabriqués par les femmes qui veulent tout nous faire essayer…et acheter bien sûr!

Mon avis sur cette visite chez les Massaïs

J’avais très hâte de faire cette visite et j’étais assez enthousiaste de la voir inscrite au programme, au milieu de notre safari en Tanzanie. Cependant, je me suis sentie extrêmement mal à l’aise et je ne suis pas sûre de réitérer l’expérience, si c’était à refaire. Même si j’ai trouvé intéressant de voir comment les massaïs vivent et de comprendre leurs traditions, je ne suis pas sûre que ces visites touristiques servent vraiment leurs causes. De les voir se déchaîner autant à la fin pour nous vendre leurs bracelets m’a laissée un peu sceptique aussi… L’organisation était millimétrée, tout organisée pour nous, et j’ai plus eu l’impression d’être au spectacle que dans une visite authentique d’un village… Ca ne reste que mon avis qui est très subjectif, mais vraiment j’ai rarement été aussi mal à l’aise lors d’un voyage. 

Safari en Tanzanie – Jour 4-5 : Immersion dans la magie du Serengeti

Le lendemain, nous reprenons la longue route qui mène au Serengeti tant attendu.  Au passage, nous avons la chance d’apercevoir le cratère du Ngorongoro, que nous visiterons plus tard.

La piste pour le Serengeti n’est vraiment pas bonne, très poussiéreuse et chaotique. Mais à peine arrivés dans le parc, nous sommes récompensés pour ces kilomètres parcourus : un énorme lion est en train de dormir sur le bord de la route. Plus loin, nous tombons sur Madame la lionne. Puis on aperçoit  d’autres lions au loin! C’est impressionnant de les voir d’aussi près.

Le paysage change au fur et à mesure que nous nous enfonçons dans le parc. On passe de la poussière de la piste, à des arbres parsemés, qui se font de plus en plus nombreux, ainsi que des rochers somptueux, dominant la plaine. Encore une fois, nous avons l’impression d’être des personnages du Roi Lion, ces images nous hantent! Le soleil commence à baisser et les couleurs s’adoucissent: girafes, éléphants et antilopes paissent tranquillement ou pas d’ailleurs! Devant nous, la loi de la nature sauvage : un crocodile dans une mare a réussi à attraper une antilope, dont seule une jambe dépasse de sa gueule. Une autre antilope pas loin s’en sort saine et sauve mais n’est pas passée loin.

Sur la route, une maman léopard perchée dans un arbre dort en attendant la nuit pour chasser. Nous voyons une hyène tachetée en arrivant au camp. Nous les entendons pendant la nuit, rôder autour des cuisines du camp. Je n’ai vraiment aucune envie de sortir, je peux vous le dire!

Le lendemain, nous poursuivons joyeusement l’exploration du Serengeti, au milieu des antilopes et phacochères. Nous tombons encore sur des lions se dorant la pilule au soleil. D’un coup ils commencent à s’agiter. La faim peut-être. Ils se lèvent et frôlent notre jeep. Il y en a un qui nous regarde dans les yeux en passant. Je suis tétanisée! 

Devant nous 3 léopards, une maman et ses deux petits dorment dans des arbres. Une lionne dort aussi dans un arbre non loin de là. 

Ces moments de vie sont magiques et je me sens chanceuse d’assister sans bruit à ces instants de pleine communion avec la nature. La chaleur écrase tout et nous rentrons au camp après cette matinée riche en félins. L’après-midi, nous partons dans une autre partie du parc, beaucoup plus verte. C’est là que nous croisons de nombreux zèbres et éléphants. Jusqu’à ce que nous tombions sur une piscine d’hippopotames! Le choc! Je suis subjuguée devant cette mare de boue remplie d’hippo tout boueux qui baillent aux corneilles.Ils roulent dans la boue, grognent, éclaboussent, dorment… Empilés parfois les un sur les autres, le spectacle est juste terriblement comique, fascinant et incroyablement dégueu ! C’est ce que j’ai vu de plus écoeurant pendant tout ce safari en Tanzanie! Au loin, un crocodile est posé sur une pierre. Un bébé hippo n’a pas survécu aux dents du croco… 

Notre passage au Serengeti se clôture par un splendide coucher du soleil sur le parc, où le ciel prend feu avec ses couleurs rouge-orangé. Nous disons au revoir à la girafe qui broute devant notre camp avant de nous écrouler de fatigue, émerveillés par tant en beauté.  

Safari en Tanzanie – Jour 6 : Le cratère du Ngorongoro

Il nous faut 3 heures de route pour arriver en haut du cratère du Ngorongoro, que nous découvrons au lever du jour. Dans ce froid matinal, nous apercevons les premiers animaux : de nombreux points noirs apparaissent lentement au loin, ce sont des gnous et des buffles à foison! La descente dans le cratère est assez raide. Sur ses flancs, la forêt laisse place à la savane et à cette végétation aride typique de ces parcs africains. Le parc est cependant plus humide, mais toujours aussi poussiéreux. Hyènes, chacals, phacochères nous accueillent. encore une fois dans leur monde. La végétation devient dense à mesure que nous avançons vers le lac au cœur du cratère. Nous arrivons au cœur d’une forêt où nous tombons sur des éléphants, des zèbres et des buffles.

Puis nous tombons nez à nez sur des hippo, qui pataugent dans une eau bien claire que celle du Serengeti! A l’heure du déjeuner, un aigle tournoie au-dessus de nous près à piquer directement sur notre repas.  On comprend alors cette obligation de rester dans la voiture. Trop de prédateurs de tous les côtés! 🙂

Notre chauffeur démarre d’un coup sans prévenir! Un rhinocéros aurait été aperçu, chose suffisamment rare pour ne pas louper l’occasion. Nous réussirons à l’apercevoir de très loin grâce aux jumelles.

L’air dans le Ngorongoro est très sec et la poussière envahit nos poumons. Les paysages, eux, sont assez monotones. Nous ne sommes pas mécontents de quitter le parc le soir, pour retourner à Mto Wa Mbu, où nous devons faire des provisions et faire réparer le démarreur de notre 4×4!

Safari en Tanzanie – Jour 7 : Arusha National Park

C’est le dernier jour de safari! Nous retrouvons le bitume perdu depuis bien longtemps pour nous rendre à Arusha National Park. Au total, 3 longues heures de route afin d’arriver dans l’unique parc dans lequel nous pourrons marcher, enfin!!! J’attendais ce moment avec impatience. C’est donc accompagnés d’un ranger que nous entamons ce safari à pied dans le parc. Nous traversons une immense forêt verdoyante dans laquelle nous nous retrouvons face à des colobes noir et blanc, des singes à la longue queue blanche touffue, qui sautent de branche en branche. Ils sont tellement beaux à regarder! 

Le ciel est très couvert et nous ne voyons pas grand-chose. Au loin, le Kilimandjaro est caché dans les nuages. Quelques rares buffles paissent au loin. Mais cette visite n’est pas fructueuse et ressemble plutôt à un échec! Nous devons remettre notre excursion à pied dans le parc le lendemain et profitons du soleil revenu dans notre camp pour nous reposer. L’air de montagne se fait vite sentir et nous filons nous coucher extrêmement tôt! 

Le lendemain matin, le ciel est clair et dégagé. Le Mont Meru apparaît parfaitement devant nous. On espère qu’il en sera de même pour le Kilimandjaro. Nous retrouvons nos rangers et une étudiante de Dar Es Salaam qui se joint à nous pour la visite. Nous suivons un sentier herbeux qui débouche sur une prairie, où paissent quelques buffles. On évite de trop nous rapprocher pour ne pas qu’ils chargent, ces derniers ayant une tendance agressive à la vue d’êtres humains. Nous tombons nez à nez avec une girafe. Pour le coup celle-ci n’a pas peur de nous et nous laisse errer à notre guise. Ce paysage de montagne au milieu duquel coule une rivière est incroyablement paisible. Des oiseaux colorés piaillent, des babouins nous font la fête. Nous arrivons à une cascade rafraîchissante. Ce parc nous change de la poussière du Serengeti ou du Ngorongoro et ça fait du bien de respirer dans la nature.

Nous finissons ce safari en Tanzanie par le lac Momella, mais hélas le temps s’est couvert et nous n’avons plus beaucoup de temps avant de nous rendre à l’aéroport du Kilimandjaro pour entamer la seconde partie de ce voyage à Zanzibar!

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Informations pratique pour faire un safari en Tanzanie

Quand partir en Tanzanie?

La Tanzanie peut être visitée toute l’année, mais la saison sèche, de juin à octobre, est généralement considérée comme la meilleure période pour faire un safari, car les animaux sont plus facilement visibles autour des points d’eau. De plus, les températures sont agréables et les risques de pluie sont faibles. La saison des pluies, de novembre à mai, offre quant à elle une végétation luxuriante et des paysages verdoyants, mais certaines pistes de safari peuvent être difficiles d’accès.

Comment aller en Tanzanie?

L’aéroport international de Kilimandjaro (JRO) près d’Arusha et l’aéroport international Julius Nyerere (DAR) à Dar es Salaam sont les principales portes d’entrée du pays. De mon côté, j’avais choisi d’atterrir à Nairobi au Kenya, et de passer par la compagnie Egyptair, avec une escale au Caire, pour des raisons strictement budgétaires. De là une navette m’avait emmenée à Arusha où j’ai passé ma première nuit en Tanzanie.

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Quel est le prix d’un safari en Tanzanie ?

Il faut savoir qu’un voyage en Tanzanie coûte cher! Les parcs, les lodges mais surtout le fait de prendre un guide pour votre safari, demande un budget conséquent. J’avais trouvé notre guide Moses sur un forum Internet, pour organiser cette semaine de safari. Tout le reste a été organisé et réservé par mes soins (vols, taxis, bus, hôtels avant et après le safari etc.), ainsi que notre semaine à Zanzibar! 

Au total, on s’en était tiré pour 3280 € par personne tout compris! Ce qui n’est pas tant que ça, mais ça demande du temps pour organiser par soi-même.

Organiser votre voyage en Tanzanie sur mesure

Si vous ne voulez pas vous prendre la tête et préférez déléguer toute  l’organisation de votre voyage et de votre safari en Tanzanie, n’hésitez pas à contacter Evaneos et à leur demander un devis gratuit! Ils se chargeront du reste.

Pour un trek au Kilimandjaro, vous pouvez vous renseigner auprès de Babletrek spécialisé dans la randonnée.

Un guide est-il obligatoire pour visiter les parcs nationaux de Tanzanie?

Dans la plupart des parcs nationaux de Tanzanie, il est obligatoire d’être accompagné d’un guide ou d’un ranger pour effectuer des safaris pour des raisons de sécurité principalement. Les guides locaux sont formés pour reconnaître les comportements des animaux sauvages et pour assurer la protection des visiteurs et sont une source précieuse d’informations sur la faune, la flore et la culture locale. Ils connaissent les meilleurs endroits pour observer les animaux et peuvent maximiser vos chances de voir les espèces que vous souhaitez rencontrer. Il est donc vraiment nécessaire de prendre un guide expérimenté et certifié pour profiter pleinement de votre safari en Tanzanie!

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